Le cancer de la vessie c’est quoi ?

Dans 90 % des cas, le cancer de la vessie est une maladie des cellules de la muqueuse interne de la vessie. Il prend alors le nom de carcinome urothélial. C’est le cancer de la vessie le plus fréquent. Il touche majoritairement les hommes (4 fois plus que les femmes). C’est le 7e cancer le plus courant en France.

Il existe plusieurs causes possibles favorisant le développement d’un cancer de la vessie :

  • la consommation de tabac
  • une exposition professionnelle à certains agents chimiques (pesticides, chlore, arsenic, certaines peintures, caoutchouc, colorants, aluminium, acides aristolochiques …)
  • une chimiothérapie antérieure à base de cyclophosphamide
  • irritation chronique de la vessie
  • anomalies congénitales de la vessie
  • un traitement pour une tumeur de l’uretère ou du bassinet du rein, etc.

Les symptômes courants

Au stade préliminaire du cancer de la vessie, il n’y a pratiquement aucun symptôme. Le symptôme le plus courant qui se manifester est l’hématurie, c’est-à-dire la présence de sang dans l’urine ou de caillots de sang. Elle n’est pas forcément associée à des douleurs.

Les autres symptômes possibles du cancer de la vessie sont :

  • douleurs ou sensations de brûlure pendant la miction (c’est-à-dire au moment d’uriner)
  • urines anormalement fréquentes
  • envies d’uriner sans émission d’urine
  • contractions douloureuses au niveau de la vessie

Tous ces symptômes n’indiquent pas essentiellement un cancer de la vessie. Ils peuvent également être liés à une autre pathologie parfois plus bénigne, comme une infection. Toutefois, ils doivent vous alerter car les chances de guérison sont meilleures face à une lésion prise en charge rapidement.

Serge Lemaille a décidé de soigner son cancer par la pratique du jeûne, en refusant la chirurgie d’emblée.

En 2008, Serge découvre quelques saignements dans ses urines (hématurie) au niveau de la vessie. Le médecin n’avait rien trouvé à l’époque. En 2011, il consulte un urologue qui lui détecte des polypes qui évoluent en 2012 en carcinome (cancer de la vessie), carcinome qui a continué d’évoluer en cancer de la vessie infiltrant grade 3 diagnostiqué en 2013.

Les cancérologues et urologues lui préconisent une ablation urgente de la vessie et la prostate sinon c’est la mort assurée d’ici 2 ans maximum. A ce moment-là Serge Lemaille décide de jeûner, de mettre son corps au repos avant de « se faire couper en morceaux ». Il s’embarque dans 56 jours de jeûne hydrique. A l’issue de ces 56 jours de jeûne, il fait une biopsie et il n’y a plus rien.

3 mois plus tard, il fait des examens pour vérifier qu’il n’y a pas une récidive…. Et non, il n’y a vraiment plus rien.

Aujourd’hui, sa vessie et sa prostate sont en parfait état et Serge est en excellente santé. Il n’a eu à subir aucune ablation. « Le corps a des qualités insoupçonnées et nous pardonnent nos erreurs » dit-il, émerveillé.

Serge a osé dire « oui » au jeûne et s’est auto-guéri du cancer de la vessie et de la prostate. Il goûte l’allégresse de vivre un esprit sain dans un corps entier. Il vit une retraite heureuse avec sa compagne Brigitte et profite de ses petits enfants.

En dessous de la vidéo vous pouvez consulter les documents médicaux officiels de Serge Lemaille. Ces documents attestent la présence d’un cancer infiltrant avant le jeûne, puis d’une vessie parfaitement saine après le jeûne.

Témoignage vidéo de la guérison du cancer de Serge – Durée de la vidéo 15 minutes.

Témoignage complet de serge -durée 59 minutes

Serge Lemail 10 après son jeûne de 53 jours. Toujours en rémission.

Témoignage complet vidéo de la guérison du cancer de Serge – Durée de la vidéo 60 minutes.

Témoignage de serge en 15 minutes

Cliquer sur les icônes PDF pour ouvrir les analyses médicales de Serge Lemaille

Document médical officiel Date Résultats médicaux en un mot et action de Serge Lemaille.
Examen du 30/08/2012 30/08/2012

Identification du cancer à la vessie. Carcinome urothélial de haut grade.

Serge Lemaille décide d’arrêter de fumer. Prise de poids.

Examen du 11/10/2012 11/10/2012 Le carcinome est confirmé mais il est non infiltrant.
Examen du 21/02/2013 21/02/2013 Le carcinome est devenu infiltrant. Grade III. Stade pT2. Le cancer se développe et la situation s’aggrave.
7/03/2013 L’urologue annonce à Serge qu’il faut opérer d’urgence ou c’est la mort dans les 24 mois. L’opération doit-être faite dans les trois mois, après le cancer sera trop métastasé.
11/03/2013 Serge Lemaille commence son jeûne.
3/05/2013 Serge Lemaille reprend l’alimentation.
Examen du 31/05/2013 31/05/2013

Document 1 de l’analyse médicale

Quelques semaines après la fin du jeûne de 56 jours. Les analyses ne montrent aucun signe de cancer. La vessie est en parfaite santé.

Examen du 31/05/2013 31/05/2013

Document 2 de l’analyse médicale

Quelques semaines après la fin du jeûne de 56 jours. Les analyses ne montrent aucun signe de cancer. La vessie est en parfaite santé.

Examen du 30/08/2012 17/10/2013 Analyse du 17 octobre 2013. La vessie est parfaitement saine. Aucune cellule cancéreuse n’est détectée. Guérison confirmée.

Serge Lemaille a osé dire « OUI » au jeûne et a pu guérir de son cancer. D’autres personnes témoignent elles aussi du même effet sur leur santé. Le cas de Serge n’est pas un cas isolé

Le 10 juillet 2020, Hervé Pietra termine un jeûne de 40 jours…Revenons sur son parcours.

En 2017, à l’âge de 69 ans, des examens médicaux révèlent des cellules cancéreuses dans sa vessie. La médecine allopathique lui propose un traitement basé sur un antibiotique, la Mitomycine, et la BCG thérapie.

En 2020, n’ayant aucun résultat satisfaisant des traitements classiques, l’équipe médicale, propose à Hervé une opération chirurgicale consistant à l’ablation de sa vessie. Cette décision extrêmement lourde, prise de façon rapide et sans appel, a été catégoriquement rejetée par Hervé.

Voir le compte rendu du médecin.

Alors Hervé décide de rechercher d’autres alternatives pour se soigner. Il s’informe et découvre le jeûne hydrique. Ici quelque articles qu’il consulte. Article sur le jeûne thérapeutique dans revue médicale suisse.  Article sur le jeûne en France dans revue des sciences sociales.

Après un entretien téléphonique avec Éric Gandon, il entame le 1er juin 2020 un jeûne hydrique de 40 jours.
Au-delà de la dimension physique, Hervé s’est intéressé à la dimension psychologique de son cancer.

Après 40 jours de jeûne hydrique en juin-juillet 2020, puis 21 jours de jeûne hydrique en novembre 2020, mi-mars 2021, le médecin observe que les tumeurs à haut risque évolutif ( PT1G3) ont disparu. Il constate une absence de lésion infiltrante et une absence de carcinome in-situ.

Aujourd’hui Hervé, son chirurgien et l’équipe d’Éric, considèrent avoir réussi leur objectif. Il reste en surveillance et maintient le pratique du jeûne.

Témoignage vidéo de Jean-Claude :

« Lorsque le chirurgien lui a dit qu’il allait devoir lui enlever la vessie, Jean-Claude a réfléchi.
Il s’est renseigné sur les énormes inconvénients d’une vessie artificielle ou avec un trou dans le ventre par lequel uriner dans une poche collée à la peau. Il a imaginé l’impuissance sexuelle qui s’ensuit souvent, le grave handicap psychologique…  Finalement, Jean-Claude a préféré faire confiance à l’incommensurable puissance de guérison de la Vie. Il est revenu voir son chirurgien et lui a dit « Non, merci, je vais garder ma vessie ».  source : Gallart Pierre

Guéri du cancer par le jeûne-1-Jean-Claude par DOmegood33 Gallart Pierre

Témoignage vidéo de Michel :

« Après sa guérison du cancer de la vessie, Jean-Claude a commencé à raconter, et à donner des conférences. Dans le public de l’une d’elles, Michel écoute avec grande attention. Il souffre du même cancer que Jean-Claude. Il est convaincu, il va lui aussi « digérer » son cancer en s’arrêtant de manger. Pendant 39 jours.  Même résultat que Jean-Claude : rémission totale.
Aujourd’hui, Michel vit une retraite heureuse, il se promène en bateau et n’a pas jugé utile de revoir les hommes/femmes en blanc qui lui avaient prédit une mort prochaine.
Et il fait pipi comme vous et moi. » source : Gallart Pierre

Guéri du cancer par le jeûne-2-Michel par DOmegood33

Témoignage vidéo de Charles :

Avant le ,jeûne la vessie de Charles était atteinte d’un cancer. Il fallait agir vite et peut-être l’opérer. Après le jeûne la vessie est en bonne santé. Il n’y a plus rien constate le médecin.

Témoignage vidéo de Fadma

Fadma, venu faire une semaine de jeûne avec nous, raconte comment son papa de 80 ans a sauvé sa vessie avec 41 jours de jeûne hydrique.

Pour conclure sur les bienfaits du jeûne en cas de cancer de la vessie:

Le jeûne se montre très efficace dans le cas de cancer de la vessie. il y a 79 000 nouveaux cas de cancer de la vessie chaque année en France (69 000 hommes et 18 500 femmes), 17 000 personnes en meurent chaque année. Ces personnes ne savent pas que le jeûne peut les sauver ! Par ailleurs le cancer de la vessie est un cancer qui connait un très forte taux de récidive, 70% des personnes soignées par chirurgie, chimio ou BCG connaissent une récidive. Alors que soigné par le jeûne et une hygiène de vie saine on n’observe pas de récidive.

Gérard Duverger, 76 ans, sauve sa vessie avec un jeûne de 45 jours.

Gérard Duverger. Atteint d’un cancer Urothélial de haut grade, identifié le 11 février 2022, l’opération est inévitable si il veut prolonger sa vie de 5 ans. Gérard ne souhaite pas se faire opérer et décide de jeûner. Il fait 30 jours de jeûne hydrique, suivi de 15 jours de jeûne nutritionnel. Il accueille des blessures émotionnelles qui l’empêchaient de respirer à plein poumon. Une pression permanente sur le sternum.

Suite à son jeûne et des libérations émotionnelles, on constate une rémission. Voir les résultats des ses analyses médicales plus bas.

Biopsie du 11/02/2022. Identification d’un carcinome Urothélial de haut grade (grade3) infiltrant.

courrier biopsie

TEP SCAN du 3 mars 2022. Confirmation des résultats de la biopsie

TEP SCAN 3 MARS 2022 1iere page

TEP SCAN 3 MARS 2022 2ième page

TEP SCAN après un jeûne de 45 jours. Rémission.

TEP SCAN 27 AVRIL 2022

TEP SCAN 6 mois après le jeûne. Confirmation la rémission se maintient.

TEP SCAN DU 22 novembre 2022

Voir également :

Jeûne et cancer

Commentaires et Questions :

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3 réactions sur “Bienfaits du jeûne en cas de cancer de la vessie

  1. Bonjour Monsieur Gandon,

    C’est avec un très grand intérêt que je parcours votre site et notamment celui ayant attrait aux témoignages du cancer de la vessie.
    En effet on m’a détecté il y a un mois un cancer de la vessie de niveau T2 mais sans ganglion ni métastase.
    je suis adepte depuis 3 ans de jeûne hydriques d’une semaines que je pratique tous les 6 mois et suis sur régime cétogène (souple) à l’année.
    Compte tenu de ma situation, je pense réaliser à l’issue de mes séances de chimiothérapie couplées à l’immunothérapie (à Gustave Roussy) prévues du 26 mars à 8 mais, un long jeûne (de 30 jours …peut-être plus.
    Ce jeûne toutefois, je le souhaiterais encadré d’où mon intérêt de me rapprocher de votre établissement.
    Ma première question est de combien de temps après une cure de chimiothérapie (sur 2 mois: 25 mars au 8 mai), vous préconisez que je puisse intègrer un protocole de jeûne long?
    Ma seconde question: En regardant les témoignages de Charles, Jean-Claude, Michel… j’aimerais savoir ce qu’ils deviennent car certaines vidéos datent désormais.
    En effet, serait il possible d’entrer en contact avec ces personnes pour qu’ils m’expliquent comment ils se sentent à ce jour, comment ont ils géré leur suivi (avec un médecin? un oncologie? à quelle fréquence? Quel type d’examens? (pet-scanner, scanner, cystoscopie?), vivent ils sereinement cet après?
    Ces réponses sont très importantes pour moi, car je suis un grand fervent du jeûne et de ses pouvoirs que je souhaite mettre en pratique très prochainement afin d’éviter le recours à l’ablation de la vessie et de la prostate comme le prévoit le protocole actuel du traitement de la vessie en France. Or au quotidien, je fais face à 95 % de mes interlocuteurs qui ne pensent, résonnent qu’en terme de médecine allopathe, pour me proposer une solution.
    Cependant il est vrai que je n’ai jamais rencontré une personne qui a survécu à un cancer par le jeûne. Il y a très peu d’études publiées (je suis les travaux de Valter Longo), sur des animaux ou avec un échantillonnage très réduits de patients. Bref ça reste toujours à l’état de chiffres ou au mieux de prénoms. Vous êtes le premier à mettre un visage et un temps d’expression pour ces personnes, et je vous en remercie. Mais où en sont ils à ce jour? C’est une question cruciale pour moi à quelques semaines de prendre une décision extrêmement importante voire irréversible.

    J’espère que vous serez attentif à mon message.
    Je vous souhaite une agréable journée.
    Bien à vous.
    Olivier P.
    p.olivierolivier@yahoo.fr

    1. Réponse à Olivier P.
      Monsieur,
      Je me permets de vous écrire car j’ai lu votre message sur le site d’Eric Gandon. J’espère que vous allez bien. J’ai personnellement parcouru une expérience peut-être analogue à la votre. J’ai été diagnostiqué pour un cancer de la vessie. il y a deux ans. Face au choc de cette nouvelle, j’ai cherché des témoignages. Les entretiens qu’Eric Gandon a conduit avec plusieurs patients souffrant de cette pathologie m’ont énormément aidé, J’avais déjà pratiqué le jeûne hydrique, d’une semaine environ. Aussi me suis-je immédiatement engagé dans un jeûne de 25 jours. (sans difficultés) Par ailleurs, j’ai pratiqué la méditation (principalement celles conduites sur youtube par Deepak Chopra ou Cédric Michel) J’ai consulté les videos d’entretiens de patients guéris de cancers avec le Dr Kelly (en anglais). Cela m’a graduellement renforcé dans mes démarches diététique et spirituelles ( à caractère non religieux ni sectaire, je dois le préciser). J’ai développé mes propres techniques d’auto-analyse, ou d’auto-hypnose, je ne sais quel nom leur donner et ai pu faire un grand nettoyage intérieur, émotionnel, en recréant des liens virtuels et des dialogues imaginaires avec des proches parents vivants ou morts, me replongeant même dans mon enfance. Ces sortes de supervisions très émotionnelles m’ont permis de placer l’amour au centre du dispositif, de pardonner, de me pardonner, etc. Tout cela est certes bien intime et il y aurait encore à dire. Nos pensées, nos regrets, rancoeurs, pour certains la culpabilité sont des poisons de l’esprit. Ils tournent en boucle. Ils consomment une énorme énergie alors que toutes nos forces doivent être disponibles pour guérir. Les promenades fréquentes dans la nature sont également une aide précieuse. Pour le jeûne, les conseils d’Eric Gandon sont absoluments adéquats.
      J’ai subi deux résections pour enlever les tumeurs. La seconde avait pour but de vérifier si aucune cellule cancéreuse n’était revenue. Heureusement ce n’était pas le cas. J’ai eu ensuite un traitement d’immuno-thérapie (BCG). La dernière cystoscopie couplée avec des analyses microscopiques remonte à 6 mois environ et les résultats étaient négatifs.
      Voila. J’espère que ce témoignage vous aidera. Nous sommes tous différents. Chacun peut mettre en oeuvre sa propre stratégie et déployer les moyens dans lesquels il a foi. Autant que possible il faut essayer de s’affranchir des conditionnements. Ceux de notre éducation et de notre environnement culturel, familial. Celui des statistiques, celui des paroles parfois maladroites et négatives des médecins ou de tiers. Celui des « gourous » de tout poil…Être déterminé. Avoir confiance et patience dans les résultats. L’homme, comme tous les êtres vivants est une merveilleuse machine qui tend naturellement vers le retour à l’équilibre.
      A votre disposition pour toute question. Bien en pensées avec vous.

      Alain