6 novembre 2017

Les bienfaits du jeûne longue durée et du réglage alimentaire sur la polyarthrite rhumatoïde

Selon des données récentes, le nombre de personnes touchées par les maladies inflammatoires chroniques a triplé en un peu moins de deux décennies. Mutations génétiques, appauvrissement de notre alimentation et de notre microbiote, mauvaise hygiène de vie, stress, disharmonie émotionnel, intrant de synthèse, champs électromagnétique, vaccination de masse, intoxination aux métaux lourds, sédentarité…les facteurs de risques sont multiples.

Le processus inflammatoire de la polyarthrite rhumatoïde :

 

Une mauvaise alimentation, une mauvaise hygiène de vie, des émotions à fleurs de peau, on le sait, entraînent une baisse du fonctionnement du système immunitaire et la porte s’ouvre alors à la maladie ou à l’exacerbation de maladies déjà existantes telles que l’hypertension, les allergies, l’asthme, les syndromes inflammatoires, et les affections chroniques ou aiguës.

En effet, une alimentation désordonnée et excessive, caractérisée par du grignotage intempestif, la consommation de fruits crus pendant les repas, de protéines lactées, de gluten, de produits industriels, de tabac et d’alcool…fatiguent, dévitalisent et intoxinent le corps. Le stress chronique, l’excès de travail, la déprime, le manque d’activité physique,  le manque de contact à la nature et un rythme de vie décalé augmentent aussi sensiblement les prédispositions aux maladies, notamment les maladies inflammatoires et auto-inflammatoires.

L’émotion de la peur active les surrénales, n constate une production de cortisol et de l’adrénaline. Lorsque la peur ou une émotion similaire devient chronique, la production constante de cortisol et d’adrénaline finit par créer des inflammations dans les articulations. D’où l’importance de traiter le champs émotionnel en même temps que la pratique du jeûne et d’une alimentation saine.

Les pathologies auto-inflammatoires se définissent par une agression des tissus de l’organisme en raison d’un dérèglement du système immunitaire. Ce même dérèglement est lié à une intoxination de l’organisme provocant un manque d’oxygène et l’obturation des récepteurs hormonaux des cellules. Le corps provoque une auto-destruction intérieur aux niveau des articulations à cause d’une saturation de toxines et un manque d’oxygènes. On peut alors mesurer un taux anormalement haut de protéine C réactive dans le sang qui est un indicateur d’inflammation aigüe. Le corps produit alors à partir de lymphocytes b des auto-anticorps, on assiste alors à une autodestruction du cartilage, de la membrane synovial, des tendons, l’organisme s’ auto-détruit de l’intérieur. D’où la classification de la PR dans les maladies auto-immunes.

.

Qu’est-ce que la polyarthrite rhumatoïde :

 

La polyarthrite rhumatoïde est une maladie inflammatoire chronique des membranes synoviales des articulations évoluant par poussées, et qui affecte simultanément plusieurs articulations. Il s’agit d’une maladie auto-immune dans le sens que le corps s’ auto-détruit en fabricant des auto-anticorps, facteurs rhumatoïdes, au niveau du liquide synovial qui « grignotent » et détruisent progressivement les articulations (= géodes), érosion progressif du cartilage. Les facteurs rhumatoïdes sont produits par des cellules plasmiques provenant de lymphocytes B. La pr se manifeste par poussées de durée variable entraînant douleurs, voire des déformations articulaires très invalidantes, et une immense fatigue. Le diagnostic se fait entre autre par l’analyse du taux de protéine c réactive dans le sang. La protéine c réactive est une indication d’inflammation aigüe.

C’est une maladie auto-immune, mais plusieurs facteurs immunologiques, génétiques, hormonaux, environnementaux (stress, traumatismes, …) sont des déclencheurs. On soupçonne également d’autres facteurs physiques liés à des maladies antérieures comme le psoriasis traité avec de la cortisone, une constipation chronique, un microbiote affaibli.

Une chose est certaine, dans le cas de polyarthrite le foie est très souvent mal portant. Le scénario classique est :

  • Une intoxination par la barrière intestinale qui n’assure pas suffisamment sa fonction de filtre,
  • Un foie fatigué qui n’arrive pas à traiter l’excès de toxine,
  • L’évacuation des toxines par la peau (psoriasis) que l’on stoppe avec des pommades ou des déodorants anti-transpiration,
  • Puis au final une évacuation des toxines dans les articulations qui asphyxient le liquide synovial qui réagit en produisant des auto-anticorps (facteurs rhumatoïdes).

Les personnes atteintes doivent prendre des anti-inflammatoires et des traitements lourds pour stabiliser la maladie et tenter d’en empêcher son évolution. Ce traitement ne guérit pas il aide à mieux supporter les douleurs. Au final la personne raccourcit sa vie de 5 à 10 ans et meurt par épuisement suite à la maladie et au traitement médicamenteux.

Et si cela se passait aussi dans la tête, « le déni de soi » ?

La relation entre la survenue de maladies ostéoarticulaires et les manifestations psychologiques sont largement reconnues de nos jours par la médecine. La polyarthrite rhumatoïde et la fibromyalgie sont notamment les deux modèles « classiques » de maladies psychosomatiques inflammatoires dont la survenue et la façon dont la maladie va évoluer, peuvent être liées et influencées, par des facteurs psychologiques, notamment en lien avec des événements de vie.

 

Beaucoup de polyarthrites rhumatoïdes (PR) sont le résultat d’un comportement suicidaire inconscient au niveau de ses habitudes de vie : on ne prend pas soin de soi, on se sabote, pire on se maltraite (au niveau de l’alimentation, de la surcharge émotionnelle, mentale, burnout professionnel…).

 

On constate souvent chez les personnes atteintes de PR, un déni du soi profond, un déni de ses besoins et émotions, des tendances à se sacrifier pour les autres au détriment de soi. Souvent, ce sont des personnes hypersensibles et extrêmement empathiques, comme Christian et Patricia qui vous apportent leur témoignage dans les vidéos ci-dessous. Mais, la plupart du temps, elles refoulent leurs émotions pour paraître fortes et ne s’autorisent pas à être vulnérables. Elles essaient de maîtriser et contrôler leurs émotions. Cela peut être lié à leur éducation, une éducation exigeante dont elles n’ont pas su se défaire. Elles perpétuent alors, cette éducation et son cadre strict alors que leur être profond aspire à tout autre chose, sans même forcément oser se l’avouer. On constate parfois le déni de soi ou une blessure existentielle du genre. “Si je n’en fait pas assez je n’existe plus”. Ces personnes sont poussées par leur croyances profondément inscrites  depuis l’enfance, à en faire plus que les autres pour exister. A parler plus, à donner plus, à s’agiter plus, à travailler plus…Au final leurs croyances les font agir au détriment de leur santé.

 

Bien souvent les personnes souffrant de PR consultent pour que l’on soulage leur douleur et nombre d’entre elles essaient surtout de gérer la douleur associée à la maladie, occultant cette dimension psychologique. Or, une bonne prise en charge de la polyarthrite rhumatoïde doit absolument être globale. Il faut, en effet, une approche qui prenne en compte la dimension physique avec un réglage alimentaire et la mise en place de comportements plus respectueux vis-à-vis de son corps, la dimension psychologique et émotionnelle pour lâcher prise sur le contrôle, se connecter à ses besoins et émotions, mais aussi spirituelle. Non pas dans le sens religieux, mais dans le sens où la personne doit apprendre à s’autoriser à être et donc à se connecter avec ses aspirations profondes pour les accepter et les matérialiser. La solution est de revenir à qui nous sommes réellement lorsque toutes les croyances du mental sont effacées ou diminuées.

Traitement de la polyarthrite rhumatoïde et maladies inflammatoires : Le jeûne.

Mettre son système digestif (et tous ses émonctoires) au repos et faire une pause de quelques jours afin de nettoyer et d’oxygéner son organisme est une excellente chose et le jeûne permettra non seulement de booster le système immunitaire et stopper les processus inflammatoires mais aussi d’améliorer sa santé voire de se guérir. Voir ici la régénération par le jeûne.

Tel a été le cas pour Prema guérie, après avoir jeûné à plusieurs reprises et après avoir adopté une très bonne hygiène de vie tant sur le plan alimentaire que sur les plans physique et émotionnel.

Lorsque les personnes découvrent la possibilité du jeûne, cela fait parfois des années qu’elles souffrent sans amélioration, malgré des traitements lourds, aux  conséquences secondaires inquiétantes. Elles décident alors de tenter le jeûne dans l’espoir de retrouver une santé.

Le jeûne hydrique comme outil thérapeutique dans le cas de la polyarthrite rhumatoïde est expérimenté depuis longtemps. Cela a été le cas du docteur allemand Otto Buchinger, qui a lui-même pratiqué une cure de jeûne pour se guérir d’une polyarthrite rhumatoïde invalidante, apparue suite à une infection en 1917. Pour cette raison, il a dû quitter la Marine dans laquelle il était mobilisé en pleine Première Guerre Mondiale. Parce que la médecine conventionnelle de l’époque ne lui a pas apporté d’amélioration, il a entamé un jeûne supervisé par l’un de ses confrères, le Dr Riedling. Alors qu’il était presque immobilisé, le jeûne a soulagé ses douleurs et il a retrouvé beaucoup d’énergie. Cette expérience d’une grande efficacité a été le point de départ de l’ouverture d’une clinique à son nom en Allemagne, pays pionnier dans la pratique du jeûne, tout comme la Russie. Aujourd’hui sa descendance continue d’expérimenter les merveilleuses vertus du jeûne thérapeutique sur des milliers de patients, toujours au bord du lac de Constance, mais aussi à Marbella en Espagne dans une clinique du même nom.

           Dès 1980, une première étude réalisée par l’équipe du chercheur TRANG porte sur 12 sujets atteints d’une polyarthrite. Au cours d’un jeûne de 7 jours, il constate une amélioration des symptômes à l’examen clinique grâce à l’index de Ritchie (qui évalue la douleur de 53 articulations prédéfinies quand on les pince), ainsi qu’une diminution de la vitesse de sédimentation, ce qui prouve une réduction de l’inflammation.

            En 1983, LITHELL et ses collaborateurs prouvent la fonction anti-inflammatoire du jeûne dans la polyarthrite rhumatoïde, car ils observent une baisse spectaculaire des douleurs articulaires, avec une forte diminution de l’indice de Ritchie lors d’un jeûne pratiqué par 21 patients durant 7 jours.

            C’est en 1991 que PALMBLAD et d’autres scientifiques confirment l’effet anti-inflammatoire du jeûne dans la polyarthrite rhumatoïde sur des dizaines de patients, car le jeûne a sur eux un effet comparable à la cortisone. Les deux heures de raideur matinale se réduisent à vingt minutes. L’indice de Ritchie et la vitesse de sédimentation diminuent également d’1/3.

            La même année, l’équipe de KJELDSEN-KRAGH démontre que le jeûne suivi d’un régime végétarien durant une année au moins, est très efficace pour réduire les symptômes de la polyarthrite. En 1994, ils démontrent que le jeûne suivi d’une alimentation végétarienne permet en fait des modifications durables de la qualité de la flore intestinale des patients atteints d’arthrite rhumatoïde. Comme il existe une corrélation entre une flore intestinale déséquilibrée et l’apparition de la polyarthrite rhumatoïde, l’amélioration de l’état de la flore permet une diminution des symptômes inflammatoires.

            La 3ème génération de la famille BUCHINGER WILHELMI, dont nous avons parlé précédemment, avec notamment le Dr Françoise Wilhelmi de Toledo qui est à l’origine de nombreuses publications scientifiques récentes sur le jeûne thérapeutique, confirme l’efficacité redoutable du jeûne sur la polyarthrite rhumatoïde. De nombreux patients se rendent dans ces cliniques de jeûne réputées mondialement pour y soigner cette affection et ils obtiennent des résultats très positifs sur du long terme.

Cela a été le cas, dans les années 1920, du docteur allemand Otto Buchinger, qui a lui-même expérimenté le jeûne pour se guérir d’une polyarthrite rhumatoïde invalidante qui l’avait contraint à cesser son activité. Ce qui a valu l’ouverture d’une clinique à son nom en Allemagne, pays pionnier, où le jeûne comme en URSS d’ailleurs, est couramment pratiqué.

Une polyarthrite rhumatoïde qui est en réalité une maladie de Lyme.

Parfois, un patient est diagnostiqué comme souffrant de polyarthrite, spondylarthrite ou fibromyalgie, alors qu’en réalité il souffre de maladie de Lyme. Dans ce cas le jeûne hydrique n’est pas conseillé, il vaut mieux pratiquer le jeûne sec avec des bains très froids. C’est la détoxination mais surtout la montée en température du corps qui apportera l’amélioration de la santé. La maladie de Lyme recule grâce à la température corporelle qui augmente à 39-40°. Voir ici le jeûne sec pour maladie de lyme.

La spondylarthrite ankylosante

La spondylarthrite est aussi une maladie inflammatoire articulaire chronique. Elle se caractérise par une atteinte du squelette axial (colonne vertébrale et articulations sacro-iliaques du bassin) et se manifeste par des crises douloureuses (“poussées”), alternant avec des périodes d’accalmie.

Après de nombreuses années, cette affection peut évoluer vers un enraidissement des zones touchées qui affectent gravement la mobilité du squelette, c’est ce qu’on appelle alors la spondylarthrite ankylosante

Découvrez les témoignages vidéos des nombreux jeûneurs qui sont venus en cure de jeûne pour leur arthrite rhumatoïde

Raymonde jeûne 26 jours pour polyarthrite rhumatoïde

Elle témoigne après 6 et 21 jours de jeûne. Au bout de 6 jours, les douleurs au poignet sont parties. Raymonde partage avec nous son expérience des 3 semaines de jeûne en groupe. Elle a fait un jeûne hydrique et jeûne sec.

Texte du témoignage de Raymonde.

Eric :”Bonjour Raymonde, comment tu vas aujourd’hui ?”

Raymonde : “Bonjour Eric, je vais très bien, je suis en pleine forme, j’ai une bonne vitalité et je sens que mes douleurs de la Polyarthrite commence à partir.”

Eric : “Tu as fais combien de jour de jeûne pour l’instant ?”

Raymonde : “J’ai fait 6 jours de jeûne, c’est le 6ième jour.”

Eric : “Tu jeûnes pour quelle raison ?”

Raymonde : “Je jeûne parce que je souffre d’une polyarthrite rhumatoïde.C’est mon but principal.”

La polyarthrite rhumatoïde c’est quoi en faites ?

Eric : “La polyarthrite rhumatoïde c’est quoi en faites ?”

Raymonde : “Je jeûne, car j’ai une polyarthrite rhumatoïde. C’est un rhumatisme inflammatoire chronique des articulations dû à un manque d’immunité. Mon système immunitaire est défaillant. Ça fait 2 ans que j’ai eu le diagnostic, et je n’ai pas voulu attendre plus longtemps, car je me suis dit que, plus j’attendrais, plus ça serait difficile.”

Eric GANDON : “Tu as commencé à avoir des déformations ?”

Raymonde : “Oui, dans 2 doigts de la main gauche que je ne pouvais plus fermer, mais depuis que je suis ici, je ferme tout. Le poignet, quand je le bougeais, il était très douloureux. C’était tellement douloureux que je ne pouvais pas ouvrir un bocal, bien tenir mon stylo pour écrire. Je n’avais plus de forces. En une semaine de jeûne, tout est revenu. Même s’il n’y a pas grand chose à ouvrir, j’écris normalement, je fais ma toilette.”

Les médicaments que Raymonde prenait.

Eric GANDON : “Tu avais essayé  quoi comme médicaments ?”

Raymonde : “J’avais des médicaments très lourd, méthotrexate, cortisone fortement dosée, et j’ai commencé la bio-thérapie, mais je me suis vite aperçue que ces médicaments provoquaient plus de maladies qu’ils ne me soignaient. Je les ai refusés. J’ai tout arrêté. Sauf la cortisone, c’est la seule chose qui calmait mes douleurs quand j’étais en crise très forte. Alors, j’ai arrêté la cortisone pure, et là, je suis en hydro-cortisone, mais en déclinaison de dosage. Je diminue tout doucement.”

Un objectif de 21 jours de jeûne.

Eric GANDON : “Tu vas jeûner combien de temps ?”

Raymonde : “Je vais jeûner 21 jours.”

Eric GANDON : “On pourra refaire un point, pour voir, si à la fin, ça va mieux ?”

Raymonde : “Absolument, car à la fin, je n’aurais plus de cortisone.”

Une toute petite perte de poids.

Eric GANDON : “Tu as minci un petit peu ?”

Raymonde : “J’ai minci de 2 kilos 3. Je suis d’un genre résistant pour la perte de poids. Ça ne fait pas tout à fait 500 grammes par jour.”

Eric GANDON : “La préparation, tu as minci un peu ?”

Raymonde : “J’ai dû perdre 3 kilos, quelque chose comme ça. J’ai jeûné 36 heures, donc j’ai perdu un peu.”

Une bonne vitalité durant la première semaine.

Eric GANDON : “Comment ça s’est passé pour toi cette semaine ?”

Raymonde : “Très bien, je suis en bonne vitalité, mes paramètres médicaux sont bons, je n’éprouve pas la faim, de temps en temps, quand on parle d’alimentation en naturopathie, ça gargouille un peu, je masse un peu le ventre, l’air sort, et ça s’arrête. Ça marche très bien.”

Ce qu’a pensé Raymonde des mandalas.

Eric GANDON : “Tu as essayé les mandalas cette semaine ?”

Raymonde : “Oui, j’ai beaucoup aimé, car ça vidait l’esprit, et ça nous centrait sur nous-mêmes. Comme une méditation, en suite nous avons écrits tous ces mots autour du mandala, et j’ai remarqué que j’avais écrit que des mots positifs. Quand on a choisi les 4 mots pour écrire la phrase, j’ai, effectivement, remonté quelque chose que j’avais au fond de mon cœur et qui me manque un peu. C’était incroyable.”

21 jours de jeûne, bravo Raymonde !

Eric GANDON : “Comment tu vas ?”

Raymonde : “Je vais très bien, c’est mon dernier jour. 21 jours de jeûne, dont 3 jours au jeûne sec. Heureusement que je l’ai fait avec toi, car je n’aurais pas réussi. C’est fini, ce matin, je me suis pesée, et là, j’ai bu un petit coup, c’est trop bon.”

Les bienfaits du jeûne sur la polyarthrite rhumatoïde.

Eric GANDON : “Ça a eu des effets sur ta santé ?”

Raymonde : “Il y a plein de choses. J’ai connecté mon cerveau à mon cœur, dans la nuit, hier soir avant de me coucher, j’ai fait des demandes. Il semblerait que ces demandes aient été exaucées, car ce matin, plus aucune douleur dans mon poignet. Plus aucune douleur de la tête au pied. C’est extraordinaire, aucun médicaments, plus rien du tout.”

Eric GANDON : “Ça faisait combien d’années ?”

Raymonde : “Ça faisait 2 ans. Je n’ai pas voulu attendre plus longtemps, car je me suis dit que, plus la maladie était installée, plus ça allait être difficile de l’enlever.”

3 jours de jeûne sec en plus.

Eric GANDON : “Félicitation, c’est super ! Pourquoi tu as fait 3 jours de jeûne sec ?”

Raymonde : “Merci Eric. Il paraît que 1 jour de jeûne sec équivaut à 3 jours de jeûne hydrique, alors je me suis dit qu’on allait mettre la patate. Comme il faut 24 à 25 de jeûne pour la polyarthrite, je continue de jeûner jusqu’à mardi, pour m’assurer que la maladie soit bien partie. Je ne sais pas si tu as eu des cas de guérison ?”

Eric GANDON : “Oui, j’ai des personnes qui n’ont plus rien du tout aujourd’hui. Ça fait 5 mois à peu près, et il n’y a plus rien.”

Raymonde : “D’accord, eh bien, j’avais au moins demandé à ce que la maladie s’éteigne.”

Eric GANDON : “C’est une question d’hygiène de vie.”

Raymonde : “Tout à fait, je suis tout à fait consciente, je sais ce qu’il faut faire maintenant, 3 journées de jeûne sec, 4 ou 5 jours de jeûne hydrique, et puis une bonne alimentation, comme tu nous l’as indiqué. Je connais la recette maintenant.”

Une semaine plus difficile qu’une autre ?

Eric GANDON : “Sur ces 3 semaines, laquelle a été la plus difficile pour toi ?”

Raymonde : “Pour moi, ça a été la dernière semaine la plus difficile, car il y avait 3 jours de jeûne sec. J’ai eu un peu de faiblesse de la taille jusqu’au pied, le matin, mais après, je me faisais un bon bol d’air Jacquier, avec la bonne odeur. En suite, un bain de mer, et je repartais pour la journée. Avec une meilleure vitalité, jusqu’au soir. Hier soir, j’étais fatigué, et je ne voulais pas être tenté de boire, je voulais mener mon jeûne sec jusqu’au bout. C’est grâce à toi Eric, à Amandine aussi. Vous y avez bien contribué, je vous en serais éternellement reconnaissante. Merci Eric.

Jocelyne soigne son apnée du sommeil et les douleurs de la spondylarthrite avec 21 jours de jeûne

Bonne mangeuse, Jocelyne souffrait d’apnée du sommeil et de spondylarthrite. Elle a traversé les difficultés du jeûne avec le sourire aux lèvres et prenait soin d’accompagner son jeûne par des pensées positives. “Il est tel que sont les pensées de son cœur” dit-elle en citant la bible. A la fin de la troisième semaine, elle constate que toutes les douleurs sont parties et que son apnée du sommeil a disparu.

Patricia, ses douleurs de polyarthrite rhumatoïde ont disparu en 21 jours de jeûne

Dans cette vidéo, Patricia vient de terminer 3 semaines de jeûne en groupe, accompagnée par Jeûner pour sa Santé. Elle a arrêté la cigarette avec facilité dès le premier jour de jeûne. Les douleurs de polyarthrite rhumatoïde ont disparu au fur et à mesure de la détoxination du corps. Pour elle, ce jeûne et les ateliers de développement personnel lui ont permis de faire un retour vers soi.

Petit mot de Patricia, quelques jours après son jeûne.

« Bonjour, je viens de terminer le stage de jeûne du 15/02/2019 au 21/02/2019 avec Eric et Amandine à la Tranche sur Mer, j’avais commencé chez moi le 13/02/2019 et j’ai prolongé chez moi jusqu’au 27/02/2019. J’ai beaucoup apprécié d’être en groupe car cela permet de partager des expériences différentes et de lier des amitiés. Nous avons partagé les ateliers de mandalas, des dés de la destinée, qui nous en apprennent beaucoup sur nous-mêmes, hasard pas hasard ?

Les exercices physiques tout en douceur, que je n’ai pas pu suivre puisqu’en pleine détoxication de métaux lourds, j’ai pendant 3 jours souffert du psoas. Après, tout s’est bien passé dans ce beau décor qu’est le bord de mer avec ses couchers et levers de soleil. Je me suis allégée de 10kgs et je reviendrai. Je remercie Eric et Amandine pour leurs attentions et les bienfaits qu’ils nous procurent en faisant ces stages qui apportent la guérison aux plus désespérés. »

Christian soulage les douleurs de la polyarthrite avec un jeûne hydrique de longue durée.

Christian pour éviter un traitement médicamenteux lourd se lance dans un jeûne hydrique long. Il voit déjà les bénéfices, il peut descendre les escaliers et récupère de la mobilité dans ses doigts. Il raconte l’importance des ateliers de développement personnel dans ce parcours.

J’ai guéri de la polyarthrite.

Lucile traite ses douleurs de polyarthrite rhumatoïde et son hypertension avec 21 jours de jeûne. Trois mois après son jeûne, Lucile nous confirme que les douleurs ne sont pas revenues, elle n’a pas eu à reprendre les médicaments.

Texte du témoignage de Lucile.  Les douleurs du rhumatisme inflammatoire chronique ont disparu en quelque jours de jeûne hydrique.

Eric : “Bonjour, Luce, tu viens d’où ?”

Lucile : “Bonjour Eric, je viens de Rennes.”

Eric : “Ah oui c’est pas très loin, tu es Rennaise alors ?”

Lucile :  “Oui je suis Rennaise, exactement. ”

Eric : “Alors Luce, ça fait combien de temps que tu jeûne ?”

Lucile : “Cela fait exactement deux semaines.”

Eric : “Deux semaines sans manger du tout ?”

Lucile : “Rien du tout”

Eric : “Même la nuit, tu ne manges pas ?”

Lucile : ” Non”

Eric : ” Donc tu n’as rien mangé du matin au soir, même la nuit pendant 14 jours ? ”

Lucile : “Tout à fait !”

Eric : ” Et c’est possible? ”

Lucile : ” Oui.”

Eric : “Cela n’a pas été trop difficile ?”

Lucile : “C’est même, je peux le dire, facile. Par rapport a ce a que je m’imaginais, je me suis dit, cela va être un peu difficile, et bien non !”

Eric : “Et c’est la première fois que tu fais cela ?”

Lucile : “Oui, je m’étais préparée un peu avant, mais jeûner comme cela 15 jours, c’est à dire boire uniquement de l’eau, c’est la première fois que je fais ça.”

Eric : “Cela t’a fait un peu peur ?”

Lucile : ” Non pas vraiment, si il y en a d’autre qui le font je dois pouvoir le faire aussi.”

Eric : “Qu’est ce qui t’a décidé ?”

Lucile : “D’abord, des vidéos que j’ai vu sur internet et puis me voilà.”

Eric : “Y a t’il quelqu’un qui t’a parlé du jeûne ? Qu’en pense ta famille ? ”

Lucile : “Personne ne m’a jamais dit que je pouvais me guérir avec le jeûne. Les membre de ma famille se sont inquiété, il m’ont demandé de m’assurer que ce n’était pas une secte. Je leur ai dit que si c’était une secte au bout de quelques jours je reviens. Mais ça n’est pas du tout une secte. ”

Eric : “Dis nous pourquoi tu fais un jeûne hydrique ?”

Lucile : “Je fais un jeûne hydrique, parce que j’ai une polyarthrite rhumatoïde.”

Eric : “Polyarthrite, c’est des douleurs dans le corps, c’est ça ?”

Lucile : ” La polyarthrite Rhumatoïde se sont des douleurs dans toutes les articulations. C’est un rhumatisme inflammatoire chronique douloureux. Cela fait plus de 10 ans que je souffre et que j’ai eu ce diagnostic. J’ai des déformations dans les mains, j’ai déjà été opérée des mains. ”

Eric : “As-tu pris des médicaments ?”

Lucile : “En ce moment j’ai arrêté les médicaments, mais avant je prenais le fameux méthotrexate, la cortisone. J’ai pris ces médicaments pendant plus de 10 ans.”

Eric : ” Et là après 15 jours de jeûne, où en es-tu concernant tes douleurs ?”

Lucile : “J’ai eu des douleurs au début du jeûne hydrique puis elles ont disparu au bout de quelque jours. ”

Eric : “Donc là tu n’as plus du tout de douleurs ?”

Lucile : “Pour l’instant non.”

Eric : “Prends-tu toujours des médicaments ?”

Lucile : “Non, je les avais arrêté juste avant de venir au jeûne, et ça se passe très bien, aucune douleur du rhumatisme inflammatoire chronique. J’ai suspendu mon traitement médicamenteux parce que je venais ici, c’est possible néanmoins que j’ai besoin de le reprendre plus tard.”

Eric : “Oui en effet.”

Lucile : “Dès lundi, j’ai rendez-vous chez ma rhumatologue, je fais encore une semaine de jeûne, puis dès la fin du jeûne je me fais examiner par le médecin spécialisé. Je me demande ce que je vais lui dire.”

Eric : “Mais alors deux semaines, sans manger, tu ne t’ennuies pas un peu ?”

Lucile : “Pas du tout car nous sommes occupés toute la journée, il y a des activités, il y a des conférences, qui sont agréables et qui me plaises. Il y a aussi quelque chose qui est important, je crois que nous sommes un bon groupe.”

Eric : “Ah! oui le groupe ! ”

Lucile : “Je vois qu’avec tout le monde on se parle, je m’entends bien, il y a des échanges constructifs et agréables. J’ai même trouvé un ange gardien. Oui, le groupe est important. Honnêtement, avant de venir je me suis dis. O la la, ça va être dure, je vais avoir faim et tout ça. Non ! on n’y pense même plus à tout ça.”

Eric : “C’est parce que tu vis dans l’instant présent.”

Lucile : “Tout a fait !”

Eric : “Lucile, je te remercie de ton témoignage.”

Lucile : “Merci Eric.”

Bouchra, 21 jours de Jeûne pour soulager une pr.

Bouchra témoigne après 7 et 20 jours de jeûne dans cette vidéo. Elle souffre d’une polyarthrite rhumatoïde depuis l’âge de 13 ans, elle a suivi plusieurs traitements médicamenteux lourds (méthotrexate, cortisone). Après 4 jours de jeûne, elle commence avec le suivi de son médecin à diminuer les doses de corticoïdes. Elle nous explique comment elle a fait pour arrêter totalement les médicaments pendant son jeûne. Bouchra partage avec nous la différence entre le jeûne hydrique et le ramadan.

Noëlle, jeûne efficace sur les douleurs de spondylarthrite ankylosante.

7 jours de jeûne pour Noëlle. Elle s’oppose au nouveau Lévothyrox et mystérieusement vit bien son hypothyroïdie sans Lévothyrox. Elle accompagne sa belle fille qui souffrait de spondylarthrite ankylosante, hypertension, asthme…. Des résultats très encourageants et prometteurs. Plus besoin de béquilles, elle remarche normalement sans béquille en fin de jeûne. 4 mois après son jeûne elle écrit. “Tout va beaucoup mieux. Plus de douleurs ou très légères, sans comparaison, je revis. Je peux à nouveau assumer mon quotidien de mère célibataire de quatre enfants et ça n’a pas de prix.”

Michel choisit de traiter naturellement sa polyarthrite avec le jeûne

Patricia traite sa polyarthrite rhumatoïde avec 21 jours de jeûne.

Voir l’évolution de la polyarthrite durant le jeûne. Vidéo faite au 6ième puis 21ièm jour de jeûne hydrique

Patricia souffrait de rhumatisme inflammatoire chronique depuis 30 ans.

Texte du témoignage de l’expérience du jeûne de Patricia.

Eric : “Patricia ! comment tu te sens ?”

Patricia : “Je me sens assez bien. Arrivé ici, j’étais dans un état vraiment pitoyable, j’avais du mal à marché. J’étais la skieuse du coin ! sans neige. Aujourd’hui j’arrive à retrouver la mobilité de mes articulations, juste après une semaine de jeûne.”

Eric : “Et tu souffre de quoi ?”

Patricia : “Je souffre d’une polyarthrite rhumatoïde chronique depuis 30 ans. C’est une vieille affaire et pourtant on arrive avec le jeûne à soulager alors que c’est bien ancré.”

Eric : “Et tu nous viens de loin ! ”

Patricia : “Et je viens de loin ! j’ai fait environ 8000 km pour venir jeûner ici ! ”

Eric : ‘C’est un honneur pour nous ! ”

Patricia : “Et pour moi aussi ! Et j’ai la satisfaction car on peut faire se périple et se dire finalement j’ai perdu mon temps, mais là non ! Tout est agréable, le cadre est agréable, le personnel est agréable, on est bien entouré en faite ! Pour une guérison certaine ! ”

Eric : ” Tu vois une différence ? ”

Patricia : “Je vois une grosse différence ! Quand je dis je vois une grosse différence de la douleur… Sans méthotrexate et sans infiltrations. Car pour avoir un soulagement, il me fallait que mon médecin traitant, rhumatologue me fasse des infiltrations. Et là ! je retrouve quasiment le confort sans infiltrations. C’est que du bonheur en faites ! C’est génial !

Eric : ” Et tu n’as fait qu’une semaine !  donc on peut espérer mieux.

Patricia : “Oui! il me reste encore deux semaines à faire, donc oui ! on peut tout à fait espérer ! Là c’est une semaine, je n’ai pas encore de recule, je ne dis même pas j’espère…Dans deux semaines je partirais d’ici sans douleurs ! Pour moi c’est l’issue en faite. Si quelqu’un souffre de rhumatisme inflammatoire chronique, oui je peux recommander à cette personne de faire ce jeûne.

Eric : “Comment vis-tu la crise actuelle ?”

Patricia : “Alors le Corona-virus au départ quand ils en ont parlé, le fait que je vienne d’un département français et vu les kilomètres, j’ai ressenti une petite phobie. Parce que ayant déjà cette maladie chronique, pour moi si je choppais cette maladie c’était la mort direct. Donc je l’ai vécu confiné chez moi, sans trop qu’en même de stress. mais j’étais qu’en même confiné en respectant bien tout ce qu’il fallait faire. Après il y a eu le déconfinement. Quand j’ai su que je pouvais venir ici je n’ai pas eu cette crainte de coronavirus en prenant l’avion. J’ai respecté tout, masque et tout ce qu’il fallait. Mais pour moi j’avais un but, le corona n’existait plus pour moi. Mon objectif était d’aller soigner la polyarthrite que j’ai. Donc en faite le coronavirus est là et moi je suis là.

Évolution de la polyarthrite au 21ième jours de jeûne.

Patricia : “J’arrive au terme de mon jeûne avec une très grande satisfaction.

Eric : “Combien de jours ?”

Patricia : “21 jours, 21 jours sans manger !”

Eric : “Tu croyais que c’était possible ? ”

Patricia : “Au départ je me suis dit ça va être dure. Mais en faite j’ai un moral d’acier, tant mieux. Et comme c’est pour la bonne cause je me suis donné à fond. Je vais continuer à pratiquer le jeûne, de retour chez moi je ne vais pas tomber dans l’excès de nourriture. J’ai une grande satisfaction de mon jeûne”

Eric : “Cela t’as plu ?”

Patricia : “Oui, vraiment cela m’a plu et je me sens nettoyée, “clean”, allégée. Je suis soulagé de l’estomac, je souffrais souvent de l’estomac car je prenais beaucoup de médicaments, là je me sens comme une plume. Même lorsque je me regarde dans le miroir, ma fille m’a vu via visioconférence, elle m’a dit c’est bizarre j’ai l’impression que tu as rajeuni. En faites c’est parce que le masque que j’avais était un masque de toxines. Et les douleurs…”

Eric : “Donc tu jeûnais pour le rhumatisme inflammatoire chronique ?

Patricia : “Oui pour la polyarthrite rhumatoïde, j’ai encore un peu de douleurs, mais l’évolution de la polyarthrite est fabuleuse avec 21 jours de jeûne, aussi je suis convaincue de m’en sortir. Donc je conseille aux gens, qui ont des pathologies, un mal-être, de pratiquer le jeûne. Cela nettoie vraiment ! ”

Eric : “D’expérimenter le jeûne.”

Patricia : “Oui, cela vaut vraiment le coup.”

Eric : “Merci Patricia et bon retour”

Patricia : “Oui et peut-être à bientôt, peut-être l’année prochaine.”

Voir également:

Questions et commentaires

Ci-dessous les questions les plus fréquentes, vous pouvez aussi poser les vôtre dans l’espace commentaires prévu à cet effet plus bas. Vous pouvez aussi participer à enrichir cette page et apporter ce que vous connaissez de cette maladie toujours dans l’espace commentaires.

Qu’est-ce qui déclenche une polyarthrite rhumatoïde ? Polyarthrite rhumatoïde Cause.

La polyarthrite rhumatoïde s’explique par une intoxination de l’organisme. Cette intoxination peut-être liée a une faiblesse du microbiote intestinal, on observe régulièrement qu’une maladie intestinal précède ou accompagne la polyarthrite. Voir plus ici sur la santé des intestins. Le microbiote.

La PR peut aussi être liée à une faiblesse du foie, une quantité trop importante de toxines à traiter pour le foie ou un foie en souffrance fera que le corps n’arrive pas à expulser les toxines, ces mêmes toxines stagnent dans les articulations et provoquent des inflammations, des facteurs rhumatoïdes responsable de la destruction des articulations. La polyarthrite peut aussi être liée à une difficulté de la peau à expulser les toxines. Une peau asphyxiée par des pommades à la cortisone ou des déodorants anti-transpiration provoquant un transfert morbide d’une maladie de peau (psoriasis ou eczéma) vers une maladie auto-immune la polyarthrite.

Le manque d’oxygène comme facteur de risque. Un corps intoxiné est un corps dont les tissus sont mal oxygénés. La fabrication des auto-anticorps et la destruction du cartilage qui s’en suit peut être la conséquence d’un manque d’oxygène. On comprend ici l’intérêt d’une activité physique modérée et de la pratique du jeûne qui permettent une meilleure oxygénation.

La polyarthrite rhumatoïde peut aussi avoir comme origine un dysfonctionnement émotionnelle ou énergétique. Une personne trop tournée vers les autres et déconnectée du soi intérieur peut progressivement s’affaiblir et créer un système immunitaire qui s’oublie lui même et fabrique des auto-anticorps. Les facteurs rhumatoïdes ainsi produits vont détruire les cellules et les articulations. La polyarthrite est une maladie auto-immune. Hors, une maladie auto-immune c’est une auto-destruction de son propre corps.

Le sexe féminin semble être plus affecté que le sexe masculin. En effet on observe 3 fois plus de pr chez les patientes de sexe féminin que pour le sexe masculin. Comment expliquer cette prédisposition à la polyarthrite rhumatoïde ? Il faudra se poser la question si cela est vraiment pour des causes physiques ou des causes émotionnelles. Le sexe féminin serait-il plus contraint que le sexe masculin a s’adapter depuis le plus jeûne âge a un environnement qui ne lui convient pas ?  Les femmes longtemps activent au foyer se sont vues de plus en plus missionnées à prendre des responsabilités en dehors de ce qui semble être leur mission originelle. En gagnant leur autonomie et liberté elles ont peut-être perdu de la sécurité et du confort. Serait-ce que le sexe féminin qui à un grand besoin de vivre pleinement ses émotions, se trouve contrainte à réprimer ces mêmes émotions pour s’adapter à un environnement rationnel ?

Comment soigner la polyarthrite ?

Pour soigner la polyarthrite il faut enlever la cause. La médecine allopathique va calmer les douleurs avec des anti-douleurs ou une chimio (méthotrexate), mais elle ne va pas enlever les causes. Si nous développons une PR c’est que nous avons fait des choix d’hygiène de vie ou d’hygiène émotionnelle ou autre choix qui ont créé un déséquilibre dans notre organisme. Ces déséquilibres aboutissent sur une maladie, une production d’auto-anticorps, les facteurs rhumatoïdes. Il faut donc enlever la cause ou les causes de la maladie. Détoxiner le corps, changer son alimentation, apprendre à se connecter à soi, à changer nos croyances et à exprimer nos besoins. Le jeûne hydrique, le changement alimentaire, le renforcement du microbiote, le développement personnel permettra à terme de retrouver la santé durablement. Il faudra mettre en place des périodes de jeûne hydrique selon les réserves pondérales et la perte de poids entre les jeûne. Par expérience les jeûne de 3 à 4 semaines se montre très efficaces. En dehors des cures, se satisfaire d’un repas par jour ou d’un jeûne un jour sur deux. Il faudra adapter selon la perte de poids durant le jeûne et les réserves pondérales. Calculer ici combien de temps vous pouvez jeûner : Combien de temps jeûner

La prise en charge de la maladie par le jeûne, le changement de mode de vie permet soit de guérir totalement soit de diminuer le nombre de poussées. Cette prise en charge aura pour bénéfice secondaire de prévenir d’autres maladies souvent corrélées avec la pr. Accident vasculaire cérébral, angine de poitrine, infarctus du myocarde, syndrome de gougerot, dégradation des vaisseaux sanguin, taux de cholestérol anormalement élevé…

L’activité physique régulière et modérée aidera à mieux éliminer les toxines par la peau et à mieux renouveler le liquide synoviale, permettant une meilleure oxygénation des tissus et de la membrane synoviale. Combinée au jeûne et un changement alimentaire, l’activité physique contribuera à faire reculer la maladie et à diminuer les poussées.

Est-ce qu’on meurt de la polyarthrite rhumatoïde ? Peut-on mourir d’une polyarthrite rhumatoïde ? Espérance de vie.

Normalement la PR n’est pas mortelle, néanmoins les personnes atteintes de cette maladie ne vivent plus à cause des douleurs. La maladie nous empêche de vivre, il y a une perte considérable de qualité de vie. Même si cette maladie à l’origine n’était pas mortelle, aujourd’hui avec l’utilisation des médicaments puissants pour apporter un soulagement on observe 30% de mortalité prématurée.

Est-ce que la polyarthrite est grave ?

Oui c’est une maladie auto-immune très grave et très handicapante avec effondrement de la qualité de vie. Nous produisons des facteurs rhumatoïdes qui provoquent la fabrication d’auto-anticorps qui détruisent la membrane synovial, le cartilage et les tendons. Heureusement il est possible d’en guérir ou de diminuer les douleurs avec le jeûne et les changements de vie.

Symptôme polyarthrite.

La polyarthrite est une forme de rhumatisme articulaire, inflammatoire. L’inflammation chronique affecte simultanément plusieurs articulations. Elle a tendance à devenir chronique et extensive avec atteinte de l’état général. La polyarthrite se rencontre surtout chez les adultes, chez la femme en particulier.

L’accélération de la vitesse de sédimentation globulaire est signe biologique le plus fidèle de l’inflammation. C’est une pathologie auto-immune.

Quels sont les signes qui permettent de reconnaître une polyarthrite ?

  • Évolution de la polyarthrite par poussées
  • Déforme de façon grave et rapide les articulations et des extrémités osseuses
  • Maladie permanente avec des poussées inflammatoires durant lesquelles le mal s’aggrave
  • Entraîne une altération profonde de l’état général
  • Lors des poussées, l’articulation gonfle, devient rouge, chaude et très douloureuse
  • La vitesse de sédimentation (vs) augmente considérablement
  • La protéine c réactive augmente dans les analyses de sang

Les aliments en dehors du jeûne pour traiter la polyarthrite.

Souvent il y a un lien entre une faiblesse intestinal et la polyarthrite rhumatoïde. Dans ce cas, il faudra enlever de l’alimentation tout ce qui peut affecter les intestins.

Ce qu’il faut enlever :

Cigarette, alcool, grignotage entre les repas, eau chlorée, alimentation industrielle, huiles polyinsaturées, gluten, produits laitiers, soja, le stress a répétition, le café, antibiotiques contenus dans l’alimentation industrielle, les associations alimentaires indigestes, aliments réchauffés… voir plus de détails ici : Santé des intestins.

Alimentation à privilégiée :

Une alimentation, biologique fraîchement cuisinée maison, idéalement des aliments cuisinés par vous-même. Des légumes de votre jardin ou d’un producteur local bio ou mieux biodynamique. Manger léger et digeste, mastiquer longuement. Préférer une alimentation équilibrée. Aux repas principaux. Crudités variées, légumes cuits, un féculent (pomme de terre ou riz semi-complet ou patate douce ou sarrasin ou Quinoa), une protéine animale. Penser aux Oméga 3 qui sont anti-inflammatoires. Cerneaux de noix, œuf coque de poules qui mangent de l’herbe, graines de chia, légumes verts en crudités, beurre au lait crus, poisson gras en marinade. voir plus ici. Oméga3.

Voir réglage alimentaire sans gluten ici : Réglage alimentaire sans gluten.

Laisser un commentaire

18 réactions sur “Les bienfaits du jeûne longue durée et du réglage alimentaire sur la polyarthrite rhumatoïde

  1. Je suis à 20 jours de jeûne. je ne dors plus que 3 heures par nuit depuis 15 jours, je fais de l’aérophagie, des gaz, et je suis continuellement nauséeuse. Est ce normal ?
    Je fais ce jeûne ^pour une polyarthrite et des intolérances alimentaires ( gluten, farine, tous les lait, amande, noisette, noix de cajou, pistache, moutarde et blanc d’œuf;
    que dois je faire à la sortie du jeûne? .
    Merci de votre réponse.

    1. Bonjour,
      Plusieurs possibilités possibles;
      Voir si vous avez fait des lavements ou pas.
      Voir si vous avez un travail émotionnel à faire pour détendre le plexus.
      Voir si vous êtes sur le point de libérer des mémoires liées à l’alimentation.
      Voir si votre foie et vésicule sont très intoxinés?
      …le mieux pour un jeûne long est de le faire accompagné en groupe.
      Bonne journée,
      Eric

  2. Bonjour, j ai été diagnostiqué pour une polyarthrite rhumatoïde. Je suis sous traitement de prednisone. Je voulais entamé un jeu pour diminuer l évolution de la maladie et également pour maigrir. Je suis en obésité. Je pensais commencer 1 jours de jeûne la semaine prochaine puis 2 jours de jeûne puis 6 jours de jeûnes. Puis 1 semaine de bouillon et fruits et légumes. Qu en pensez vous ?

  3. Bonjour Eric,
    Je vois plusieurs témoignages de jeûnes de 21 jours pour la polyarthrite r, mais il me semble avoir entendu Raymonde qui parle d’aller jusqu’à 25, 26 jours. Pouvez-vous préciser le nombre de jours recommandés ? Merci. Votre réponse m’orientera pour une réservation.

  4. Bonjour, je viens d’avoir l’avis d’un 2ème rhumatologue sur une suspicion de polyarthrite, il me confirme que je suis bien atteint de cette maladie. Depuis le premier diagnostique, je me suis intéressé aux témoignages des personnes ayant fait un jeûne pour tenter de se soigner de la polyarthrite. Avez-vous des nouvelles de ces personnes et sont-elles guerries ou en voie de guerrison ? Car il n’y a pas de témoignages de ces personnes plusieurs mois ou années après le jeûne. Merci par avance de votre réponse.

    1. Bonjour Pierrot, Oui les personnes qui jeûnent régulièrement, améliorent leur flore microbienne et appliquent les recommandations en matière d’hygiène de vie. Garde une bonne santé, ceux qui ne font pas de changement voient les douleurs revenir.
      Le jeûne permet une remise à zéro, néanmoins après le jeûne il préserver la bonne santé en changeant et en arrêtant ce qui à créé le désordre. Bonne soirée, Eric

    1. Bonjour Pierrot,
      Oui lorsque les personnes on une bonne hygiène de vie et retrouvé leur calme intérieur elles peuvent arrêter totalement leur traitement avec l’accord de leur médecin.
      Bonne journée,
      Eric

  5. Bonjour
    Je suis atteinte de la polyarthrite rhumatoïde depuis 5 ans maintenant, j’ai déjà pratiqué un jeune d’une semaine avec de très bon résultats… je réitère l’expérience aujourd’hui j’espérais pousser à 10 jours seulement voilà je suis à mon 5ème jours et j’ai des brûlures d’estomac (effet secondaire du traitement pour la pr mais je ne l’ai pas pris depuis 2 mois et demi, car mes douleurs on nettement diminuer) ma question c’est: et il normal d’avoir des brûlures d’estomac sans manger ? Merci d’avance pour votre réponse.
    Et merci pour le contenu que vous partagez

    1. Bonjour Juliette, Il arrive en effet d’observer ce désagrément lors du jeûne. Plusieurs causes sont possibles et donc il faut faire des recherches sur les cause pour adapter les solutions. Je recommande les respirations ventrales, la détente du plexus solaire, les soins psychogénétiques, le bicarbonate de soude alimentaire… Vous pouvez aussi prendre des soupes de légumes sur quelques jours et reprendre le jeûne lorsque les douleurs sont parties. Bonne journée, Eric

  6. bonjour
    Ceci est un témoignage .
    J’ai donc une polyarthrite rhumatoïde diagnostiquée en 2017 mais apparue en 2011.
    pharmacien, j’ai toutefois tenté d’échapper aux traitements allopathiques qui n’offraient que peu de résultat mais ralentissaient l’évolution de la maladie. Aussi j’ai recherché autre chose que IMETh et acide folique traitement que le professeur B du CHU d’Angers me prescrivait.
    c’est ainsi que j’ai lu et cherché des alternatives.
    J’ai en 2020 entrepris un jeûne de 15 jours , qui a permis une totale mobilité de mes articulations alors bloquées( je pratique flute et violoncelle que je ne pouvais plus faire et pianoter sur mon ordinateur devenait impossible) des mains, du dos.

    la visite chez le professeur de rhumato du CHU d’Angers a été fort intéressante . Elle a dit devant son interne. ” Oui le jeûn est actuellement le SEUL remède pour la polyarthrite.

    Meric cher Eric pour cet accompagnement qui , bien que nécessitant des contrôles réguliers , voire des jeûnes à renouveler , m’a sauvée de cette PR